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Je me refusais de participer à ce genre d’activités de soutien à la parentalité, et en fait ce n’est pas ce que je pensais, et qu’est ce que ca fait du bien à ma relation à ma fille, à moi-même !
-- Maman de un enfant, Bamako, Mali
J'ai participé à des ateliers et échanges de pratiques sur la discipline positive et la communication non violente envers les enfants. Marie-Florence m'a aidée à transformer profondément mes pratiques pédagogiques. J'ai pu prendre conscience de l'importance primordiale des gestes et mots dirigés vers les enfants et de leurs conséquences sur leur épanouissement. J'ai rapidement constaté que mes élèves et enfants se sentaient mieux et progressaient. Pour des enfants biens dans leur peau et de futurs adultes heureux acteurs d'un monde en paix, j'encourage parents et enseignants à participer à ces ateliers.
-- Héloise, enseignante en CM2 et maman de quatre enfants de 8,10,11 et 17 ans, Bamako, Mali
Les ateliers de soutien à la parentalité auxquels j'ai participé avec Marie-Florence ont été une révélation pour mieux comprendre mon enfant et trouver nos modes de communication pour une vie de famille plus sereine et épanouie. Les questionnements sont constants bien sûr mais on y trouve une force et une source d'inspiration auxquelles revenir dans les moments de doute. Un grand merci pour ton écoute respectueuse et bienveillante qui m'a permis de savoir comment trouver mes propres solutions.
-- M., maman d'un enfant
Je tenais difficilement une classe composée de 9 élèves, âgés entre 11 et 13 ans. Il y en avait 3 qui avaient connu un échec à l'école, 3 autres souffraient de réels problèmes d'apprentissage, et les 3 autres n'avaient pas eu la chance d'aller à l’école. Avec les outils reçus, j'ai pu bien travailler avec ces enfants et les amener à suivre nos activités avec beaucoup d’intérêt, sans contrainte. La participation à été toute une expérience pour moi, avec les jeux de rôles qui me permettaient de vivre ce que les adultes font toujours vivre aux enfants. Il y a aussi la prise en compte du sentiment de l'enfant pour trouver une solution acceptée par tout le monde (c'est à dire l'adulte et l'enfant). Durant tout l'atelier j'ai vu une animatrice préoccupée à trouver une réponse à toutes les questions des participants, mais aussi à les motiver à se faire confiance. Je suis très content d'avoir participé à cet atelier Faber et Mazlish animé par Marie Florence.
-- Kassim Santara, instituteur dans un centre d'aide aux enfants en situation difficile, Bamako, Mali
Ce matin E. s'est réveillé très tôt car nous étions rentrés tard et avions oublié de fermer les volets. Dans la matinée, il a refusé de s'habiller et a commencé à crier. J'ai réussi à le calmer, je lui demandé à nouveau de s'habiller, et il recommancé a crier. Il me disait "je suis triste parce que je ne veux pas me changer" et il criait criait criait. J'étais vraiment fatiguée donc d'habitude ce que je fais est que je lui dis que je vais aller faire des trucs et que je suis là si il a besoin de moi. Je fais ça pour éviter de flipper et de lui crier dessus. Mais aujourd'hui j'ai pensé à notre atelier et je me suis dit, "il me dit quelque chose avec ses pleurs. Qu'est-ce qu'il me dit?". J'ai compris qu'il me disait "j'ai besoin de toi". Donc je suis restée là, calme, en le caressant doucement et sans rien dire. Il s'est calmé, il s'est endormi. Il était fatigué en fait. Donc, merci pour cet apprentissage de "derrière l'émotion, il y a toujours un besoin", et merci encore Marie-Florence pour avoir partagé avec nous cette connaissance.
-- H., maman de E, 4 ans